Bonjour tout le monde!
Ici tout va bien et j'ai presque fini mon vidéo mais j'ai peur que ça marche pas. C'est pour ça que je n'ai pas écrit depuis une semaine. L'école va bientôt finir (Vendredi prochain). C'est dommage qu'il n'y ait pas de meilleures écoles... Veni Vidi Vicci: Je suis venu (à l'école le jour du test), j'ai vu (mon contrôle et la mine jalouse de mes coéquipiers) et j'ai vaincu (20 sur 20 en histoire car c'était "fastoche" et 17,5 sur 20 en math.) comme le dit Jules César.
J'espere voir beaucoup de commentaires!!! ;-) Je ne crois pas que mon ancienne classe à reçu l'adresse donc je vais récrire à mes copains!
Bye et n'écoutez pas les commentaires de Daniel sur les singes car lui il ne s'est pas regardé :-)
Pascal
lundi 28 mai 2007
Une visite aux singes
Il y a une semaine, nous sommes allés voir une association qui aide les bébés singes sans parents (à cause de braconier, de la chasse...). C'est une association anglaise. Ils ne font pas, du moins pas encore, de réintroduction de singes dans la nature. L'association a été créée il y a 7 ans. Nous pouvons voir à notre droite une espèce de singe très peu répandue...
Nous avons fait une heure de route avant d'arriver au parc Mefou... pas tout le temps sur de belles routes. Nous avons ensuite fait une visite guidée qui a duré toute la matinée. Nous sommes ensuite allés au village voisin pour diner. Nous avons été surpris par une forte averse ( au Cameroun les orages arrivent sans prévenir: il fait beau et une demi heure plus tard il pleut...).
Daniel
Nous avons fait une heure de route avant d'arriver au parc Mefou... pas tout le temps sur de belles routes. Nous avons ensuite fait une visite guidée qui a duré toute la matinée. Nous sommes ensuite allés au village voisin pour diner. Nous avons été surpris par une forte averse ( au Cameroun les orages arrivent sans prévenir: il fait beau et une demi heure plus tard il pleut...).
Daniel
jeudi 24 mai 2007
Première soirée mondaine!
Bonjour,
Nous avons assisté, Pierre et moi, à un gala mondain qui regroupait des représentants du gouvernement, de la restauration et du tourisme et des entreprises privées du Cameroun, pour souligner l'importance de la culture camerounaise à travers ses différents mets nationaux.
Outre la séance de photographies sur le tapis rouge (!!!), un coktail et un discours, nous avons pu goûter à quelques mets typiques de la gastronomie camerounaise. Froid. Le repas a débuté avec près de deux heures de retard...
J'ai essayé plusieurs plats typiques sans trop savoir ce que c'était sauf pour le cochon d'inde et le riz. Mais je n'ai pas été capable d'essayer les chenilles. Pierre a trouvé cela délicieux. Pour ma part, le simple fait de les voir dans l'assiette de mon voisin me coupait littéralement l'appétit.
Autrement, la diversité des plats m'a étonnée: poissons, viandes de brousse, légumes préparés, riz, etc. On ne pouvait pas tout goûter. Il y en avait trop. J'ai beaucoup apprécié cette expérience culinaire. Les mets que j'ai choisis étaient très bons, très savoureux.
Voilà pour aujourd'hui. A+
Brigitte
Brigitte
dimanche 20 mai 2007
Le trafic
Au Cameroun, le trafic est d'humeur changeante... ça passe de temps en temps, mais pas tout le temps. Au Cameroun, ça bloque le midi (un peu comme au Québec). Mais au Cameroun, ça bloque pas tous les jours. Juste les deux premières semaines. Pourquoi? parce que les gens reçoivent leur argent le premier du mois. Ils mettent du gaz dans leur voiture. À la fin du mois, ils n'ont plus d'argent alors ils n'en mettent plus.
Les présidents n'aident pas beaucoup le trafic. En vérité, ils empirent la chose. Quand un président passe, pas nécessairement le président du Cameroun car d'autres présidents viennent au Cameroun, ils bloquent les routes pour plusieurs heures. Ce sont surtout les grosses routes. Il y a donc beaucoup de trafic. Il y a aujourd'hui (20 mai) la fête de l'indépendence. Il y a une parade. Résultat, aujourd'hui et ces derniers jours, ils ont fermé le "centre ville". On est resté coincé dans le trafic à plusieurs reprises.
Daniel
Les présidents n'aident pas beaucoup le trafic. En vérité, ils empirent la chose. Quand un président passe, pas nécessairement le président du Cameroun car d'autres présidents viennent au Cameroun, ils bloquent les routes pour plusieurs heures. Ce sont surtout les grosses routes. Il y a donc beaucoup de trafic. Il y a aujourd'hui (20 mai) la fête de l'indépendence. Il y a une parade. Résultat, aujourd'hui et ces derniers jours, ils ont fermé le "centre ville". On est resté coincé dans le trafic à plusieurs reprises.
Daniel
mercredi 16 mai 2007
Faire son marché à Yaoundé
Bonjour,
Je ne vais faire le marché à Yaoundé que pour aller dans les "grandes surfaces", c'est-à-dire l'épicerie locale. Les produits sont étiquetés et on n'est ni bousculé, ni harcelé. La paix. Mais pour les fruits et légumes, c'est autre chose. Vaut mieux aller directement au marché. Habituellement, j'envoie Ida qui se charge de la chaleur, des bousculades, des mouches, de la négociation, des odeurs, des insultes, des pickpockets... Mais hier, j'y suis allée aussi, histoire surtout de faire du repérage de légumes et de fruits. Car "échalote" ne veut pas dire la même chose pour eux que pour moi...
Aller au marché en Afrique est en soi une aventure palpitante. C'est toujours une expérience à vivre. En mission pour le bureau, quand cela est possible, je fais toujours une virée au marché de la place. Mais je préfère de loin les marchés de tissus ou d'artisanat que celui de l'alimentation. Néanmoins, c'est un univers fascinant avec ses multiples tables de grains, de farine, de fèves, de viande, de légumes, de fruits, de poissons fumés, etc. La présentation de certains marchands pour faire valoir leur produit est fascinante à regarder. Oui, je me suis fait bousculer. Je gardais les mains dans mes poches non pas pour ne pas me faire voler mon argent, que je répartis toujours soigneusement dans toutes mes poches de mon pantalon cargo, mais pour éviter qu'on me pique mon cellulaire et ma caméra numérique. Mes deux gardes du corps d'occasion, Ida et l'employée d'une autre famille de canadiens, ne cessaient de vérifier si j'avais encore mon cellulaire dans ma poche... L'une d'elle s'était déjà fait voler son sac à main, pourtant bien serré contre elle, au milieu de la foule.
Beaucoup de jeunes hommes nous harcelaient avec leur brouette afin qu'ils nous transportent nos courses. Habitude locale. Comme je suis blanche, ils ont harcelé démesurément notre petit groupe au point que ma garde du corps se mette en colère.
Il y a des gens qui sont gentils et d'autres moins, comme partout ailleurs. J'ai demandé à un marchand si je pouvais prendre une photo. Il m'a répondu de façon un peu agressive: "Est-ce que cela se mange?" (Explication: si cela ne lui donne pas d'argent pour manger, alors pas de photos). Je suis allée en voir un autre! Ils étaient six hommes autour d'une table de viande. Mais pas n'importe quelle viande. Je vous laisse deviner par les photos suivantes...
Finalement, l'escapade au marché a été plaisante même si j'ai marché sur des objets non identifés remplis de mouches, ou sur des surfaces mouillées de drôles de substances (surtout dans le coin des bouchers...). Cela vaut le coup de le vivre au moins une fois.
En dehors de cette sortie, nous allons tous très bien. Pierre est très occupé. Même si son travail est assez difficile parfois, il apprend beaucoup de cette expérience. Malheureusement, je ne peux prendre la liberté dans ce blogue pour en parler, car il est dans un projet très politisé avec des "gentils et des méchants". Le blogue n'est pas là pour mettre à risque le projet alors... motus!
Au plaisir! Brigitte.
Je ne vais faire le marché à Yaoundé que pour aller dans les "grandes surfaces", c'est-à-dire l'épicerie locale. Les produits sont étiquetés et on n'est ni bousculé, ni harcelé. La paix. Mais pour les fruits et légumes, c'est autre chose. Vaut mieux aller directement au marché. Habituellement, j'envoie Ida qui se charge de la chaleur, des bousculades, des mouches, de la négociation, des odeurs, des insultes, des pickpockets... Mais hier, j'y suis allée aussi, histoire surtout de faire du repérage de légumes et de fruits. Car "échalote" ne veut pas dire la même chose pour eux que pour moi...
Aller au marché en Afrique est en soi une aventure palpitante. C'est toujours une expérience à vivre. En mission pour le bureau, quand cela est possible, je fais toujours une virée au marché de la place. Mais je préfère de loin les marchés de tissus ou d'artisanat que celui de l'alimentation. Néanmoins, c'est un univers fascinant avec ses multiples tables de grains, de farine, de fèves, de viande, de légumes, de fruits, de poissons fumés, etc. La présentation de certains marchands pour faire valoir leur produit est fascinante à regarder. Oui, je me suis fait bousculer. Je gardais les mains dans mes poches non pas pour ne pas me faire voler mon argent, que je répartis toujours soigneusement dans toutes mes poches de mon pantalon cargo, mais pour éviter qu'on me pique mon cellulaire et ma caméra numérique. Mes deux gardes du corps d'occasion, Ida et l'employée d'une autre famille de canadiens, ne cessaient de vérifier si j'avais encore mon cellulaire dans ma poche... L'une d'elle s'était déjà fait voler son sac à main, pourtant bien serré contre elle, au milieu de la foule.
Beaucoup de jeunes hommes nous harcelaient avec leur brouette afin qu'ils nous transportent nos courses. Habitude locale. Comme je suis blanche, ils ont harcelé démesurément notre petit groupe au point que ma garde du corps se mette en colère.
Il y a des gens qui sont gentils et d'autres moins, comme partout ailleurs. J'ai demandé à un marchand si je pouvais prendre une photo. Il m'a répondu de façon un peu agressive: "Est-ce que cela se mange?" (Explication: si cela ne lui donne pas d'argent pour manger, alors pas de photos). Je suis allée en voir un autre! Ils étaient six hommes autour d'une table de viande. Mais pas n'importe quelle viande. Je vous laisse deviner par les photos suivantes...
Finalement, l'escapade au marché a été plaisante même si j'ai marché sur des objets non identifés remplis de mouches, ou sur des surfaces mouillées de drôles de substances (surtout dans le coin des bouchers...). Cela vaut le coup de le vivre au moins une fois.
:-) ____________ :-)
En dehors de cette sortie, nous allons tous très bien. Pierre est très occupé. Même si son travail est assez difficile parfois, il apprend beaucoup de cette expérience. Malheureusement, je ne peux prendre la liberté dans ce blogue pour en parler, car il est dans un projet très politisé avec des "gentils et des méchants". Le blogue n'est pas là pour mettre à risque le projet alors... motus!
Au plaisir! Brigitte.
Trop de congés...
Bonjour tout le monde,
Pascal.
Ici on a encore beaucoup de pannes et trop de congés. On est allé voir un spectacle vendredi au Centre Culturel Français. La musique était bonne, mais ça a manqué d'ambiance (pas rock). En fin de semaine passée, on est encore allé à notre club faire du sport, c'était le "fun" et en plus on est allé se raffraîchir à la piscine.
Aujourd'hui et demain, on a congé, trop de congés, j'ai peur de la différence que ça va faire quand je vais retourner aux Compagons de Cartier. Je ne vais plus être habitué à faire autant de travaux.
On va retourner chez nous par les Alpes d'Autriche (2008). Ça va être très cher, il va y avoir la coupe de l'Europe au soccer. Lundi prochain, on va aller voir des singes recueillis Je m'ennuie beaucoup de la neige. Au revoir et à la prochaine (2 ans)!!!Pascal.
PS: Lycée Fustel de Coulanges (à gauche)
jeudi 10 mai 2007
Parlons bouffe!
Bonjour,
Ce sont des questions qu'on me pose souvent: Mangez-vous bien? Qu'est-ce que vous mangez exactement? Trouvez-vous des bons produits ou des produits comme chez nous? Alors voilà quelques réponses...
Mangez-vous bien?
Oui. Nous avons nos trois repas par jour. :-)
Qu'est-ce que vous mangez exactement?
Nous mangeons comme chez nous car nos recettes nous suivent... et je les enseigne à Ida: muffin, jambon, pizza, spaghetti italien, pâté à la viande, ragoût de boulettes...
Trouvez-vous des bons produits ou des produits comme chez nous?
C'est là que cela se corse! En premier lieu, nous avons trois épiceries avec lesquelles nous composons. Nous y trouvons des petits pois en boîte, des mélanges de sauce Knorr (2$ le sachet), des chips Pringle (5$ la boîte), de l'huile d'olive (20$ la petite bouteille), des légumes congelés, du magret de canard en boîte, etc. La plupart sont des produits européens. J'ai même trouvé du sirop d'érable du Québec (20$ la petite bouteille). On trouve des produits que je ne trouvais pas à Ouagadougou : sucre en poudre, cassonade, sauce soya pour ne nommer que ceux-là. Donc, finalement, le produit qui manquera le plus aux enfants quand j'aurai épuisé mon stock à la maison... les Kraft Dinner (on ne s'en sort pas! :-).
Autrement, le plus difficile à trouver, ce sont des légumes comme les brocolis qui sont souvent flétris et les choux-fleurs qui ont changé de couleur et qui ne nous donne pas le goût de les consommer. Mais le reste, on trouve : haricot, navet, pomme de terre, carotte, salade, épinard, tomate, concombre, oignon, avocat, etc. Pour les fruits : ananas, bananes, mangues, pommes importées d'Europe (60 sous l'unité), pastèque et autres fruits exotiques (Goyave, papaye, etc.). Il faut aller dans les marchés publics le matin pour avoir les aliments les plus frais possibles. Je laisse ce soin à Ida.
Et la viande!!! Comme je l'ai dit dans un précédent message, on n'a pas encore trouvé de boucher intéressant. Certains expatriés vont jusqu'à Douala (3-4h de route) pour se faire rapporter de la viande coupée par un boucher français qu'on dit merveilleux... Je n'ai pas cette possibilité. J'ai essayé les bouchers dans la rue... sous les recommandations d'un restaurateur français. Mais ils ne savent pas couper la viande même si elle est fraîche du jour... J'ai donc laissé tomber. Et je crois que nous allons nous contenter de "mijoté" avec le boeuf et le veau pendant notre séjour ici. Le porc, cependant, reste bon. Il n'a pas du courir vers l'abattoir car sa viande est toujours tendre. Pour le poulet, je vais voir du côté de la filière de l'ambassade du Canada, de même que le poisson. Même sans cela, j'arrive à trouver du bon stock. Ida, qui travaille pour nous, nous a préparé d'ailleurs leur spécialité locale : du poisson braisé (grillé)(maquereau et bar) et c'était excellent.
Je vous souhaite un bon "week-end"!
Brigitte
mercredi 9 mai 2007
Notre émission maison?
Bonjours tout le monde!
Ça va, vous, au Québec???
Ici oui, on a beaucoup de congés et de vacances et ça nous donne le temps de nous amuser à des loisirs. J'ai eu 2 bonnes notes en français, 19 sur 20 et 20 sur 20, les meilleures notes de la classe. J'ai pas de mérites car ce sont des choses très faciles que l'on voit en 5e année au Québec. En math, on fait des problèmes encore plus faciles que ceux en 6e année avec Mme Geneviève (Québec). Par contre, c'est "full tough" pour eux. J'ai 15 minutes à passer à me tordre les doigts ou à me balancer sur ma chaise en attendant la correction. Ici, ce n'est pas le programme PEI et on apprend peu de choses avec des projets spéciaux comme par exemple l'énergie. On n'a pas de devoirs généralement mais on a beaucoup d'études et de vacances.
Dans nos temps libres à la maison comme présentement, on écrit. On va aussi faire une émission dont voilà le logo. J'aimerais que vous écriviez vos commentaires sur le carnet de correspondences à la droite de l'écran, vos suggestions de changement et autres...
L'émission maison va parler du Cameroun et autres choses que vous pourrez peut être deviner en regardant le logo.
Pascal
Ça va, vous, au Québec???
Ici oui, on a beaucoup de congés et de vacances et ça nous donne le temps de nous amuser à des loisirs. J'ai eu 2 bonnes notes en français, 19 sur 20 et 20 sur 20, les meilleures notes de la classe. J'ai pas de mérites car ce sont des choses très faciles que l'on voit en 5e année au Québec. En math, on fait des problèmes encore plus faciles que ceux en 6e année avec Mme Geneviève (Québec). Par contre, c'est "full tough" pour eux. J'ai 15 minutes à passer à me tordre les doigts ou à me balancer sur ma chaise en attendant la correction. Ici, ce n'est pas le programme PEI et on apprend peu de choses avec des projets spéciaux comme par exemple l'énergie. On n'a pas de devoirs généralement mais on a beaucoup d'études et de vacances.
Dans nos temps libres à la maison comme présentement, on écrit. On va aussi faire une émission dont voilà le logo. J'aimerais que vous écriviez vos commentaires sur le carnet de correspondences à la droite de l'écran, vos suggestions de changement et autres...
L'émission maison va parler du Cameroun et autres choses que vous pourrez peut être deviner en regardant le logo.
Pascal
mardi 8 mai 2007
Le LOGO de la famille
J'ai enfin réussi à faire un LOGO. J'espère qu'il est réussi. Je n'ai rien trouvé qui pouvait représenter l'homme sur le LOGO... si vous avez une idée. On ne parle pas juste de la nature.
L'école va bien. J'ai des bonnes notes. J'ai eu une situation écrite et j'ai eu 18/20. J'ai eu 15,5 en Anglais... mais je ne comprends toujours pas leur accent. Ma mère nous paie à moi et mon frère des cours privés. Imaginez-vous mon professeure est Canadienne. Elle vient de l'Ontario. On l'a même vue à l'ambassade Canadienne.Daniel
lundi 7 mai 2007
Soirée canadienne
Nous avons eu notre première soirée canadienne à la résidence de l'ambassadeur du Canada (Haut-commissaire) vendredi dernier. C'était une soirée familiale. Même à Ouagadougou je n'ai pas vu autant de familles réunies.
J'y ai rencontré deux collègues de Développement International Desjardins, l'un installé à Bamenda (dans l'ouest du pays) et l'autre en visite sur le terrain. Il y avait aussi les québécois avec qui nous avons passé une journée à Kribi. Et puis, il y avait tous les autres... avec qui nous avons fraternisé: biologistes, chercheurs, volontaires, ingénieurs, etc.
Nous avons rencontré une famille dont l'aîné est du même âge que Daniel et, en prime, il va à la même école. Ils ne se connaissaient pas quoique le garçon en question savait qui étaient les nouveaux petits canadiens de l'école. Ils ont joué ensemble toute la soirée. Cela m'a fait plaisir de les voir, peut-être un copain en perspective pour Daniel? Je crois que cela ferait du bien...
Il n'y avait rien de "guindé" dans cette soirée, ce qui m'a plu tout de suite. L'accueil de nos hôtes était simple et chaleureux. Ils ont même servi un petit gâteau pour les enfants en fin de soirée; je ne crois pas que c'était prévu. Ils se mélangeaient tous les deux à l'ensemble des invités s'assurant de parler avec un peu tout le monde. Je n'ai pas vu cela dans mes anciennes expériencecs de soirées canadiennes...
J'ai échangé aussi avec des femmes de l'épineux problème de la viande à Yaoundé. Dans un autre message, je vous parlerai de tout cela en détail mais sachez seulement que le boeuf (le zébu en fait) du grand nord du Cameroun est bien épuisé quand il arrive dans la capitale...
En bref, une soirée qui a fait du bien autant à Pierre qu'à moi. Pour Pierre, cela lui a permis de sortir du cocon de son bureau et de son équipe, et d'entendre des gens parler de leur vécu, leurs expériences, leurs projets et leurs difficultés. Cela rassure... un peu... :-)
Brigitte
J'y ai rencontré deux collègues de Développement International Desjardins, l'un installé à Bamenda (dans l'ouest du pays) et l'autre en visite sur le terrain. Il y avait aussi les québécois avec qui nous avons passé une journée à Kribi. Et puis, il y avait tous les autres... avec qui nous avons fraternisé: biologistes, chercheurs, volontaires, ingénieurs, etc.
Nous avons rencontré une famille dont l'aîné est du même âge que Daniel et, en prime, il va à la même école. Ils ne se connaissaient pas quoique le garçon en question savait qui étaient les nouveaux petits canadiens de l'école. Ils ont joué ensemble toute la soirée. Cela m'a fait plaisir de les voir, peut-être un copain en perspective pour Daniel? Je crois que cela ferait du bien...
Il n'y avait rien de "guindé" dans cette soirée, ce qui m'a plu tout de suite. L'accueil de nos hôtes était simple et chaleureux. Ils ont même servi un petit gâteau pour les enfants en fin de soirée; je ne crois pas que c'était prévu. Ils se mélangeaient tous les deux à l'ensemble des invités s'assurant de parler avec un peu tout le monde. Je n'ai pas vu cela dans mes anciennes expériencecs de soirées canadiennes...
J'ai échangé aussi avec des femmes de l'épineux problème de la viande à Yaoundé. Dans un autre message, je vous parlerai de tout cela en détail mais sachez seulement que le boeuf (le zébu en fait) du grand nord du Cameroun est bien épuisé quand il arrive dans la capitale...
En bref, une soirée qui a fait du bien autant à Pierre qu'à moi. Pour Pierre, cela lui a permis de sortir du cocon de son bureau et de son équipe, et d'entendre des gens parler de leur vécu, leurs expériences, leurs projets et leurs difficultés. Cela rassure... un peu... :-)
Brigitte
mardi 1 mai 2007
C'est plate et "fun"
Allo
L'école ici est "plate" même si on est toujours en congé. Imaginez, 2 semaines de congé à Pâques: le temps d'oublier comment écrire. Et la semaine suivante on a une semaine de 3 jours. Je me demande c'est quoi qu'on apprend et si on va s'en souvenir longtemps. Mais quand on est en classe, c'est vraiment déprimant, en général.
Je ne sais pas si je vais survivre pendant deux ans. C'est long. Peut-être un peu trop à mon goût. En tout cas, une semaine c'est déjà trop. J'espère que ça va bien se passer. Mais quand on n'est pas à l'école, ce qui arrive souvent, c'est quand même bien. À Pâques, on est allé à Kribi. C'était vraiment agréable. Kribi est la Floride du Cameroun. J'ai fait un film sur nos vacances en France et il est disponible maintenant sur le site. On en attend un autre de Kribi dans quelque temps. Encore là, c'est moi qui l'ai fait. J'ai utilisé Movie Maker (si vous voulez essayer). Un programme intégré dans Windows qui sert à faire des montages vidéos.
à la prochaine
Daniel
L'école ici est "plate" même si on est toujours en congé. Imaginez, 2 semaines de congé à Pâques: le temps d'oublier comment écrire. Et la semaine suivante on a une semaine de 3 jours. Je me demande c'est quoi qu'on apprend et si on va s'en souvenir longtemps. Mais quand on est en classe, c'est vraiment déprimant, en général.
Je ne sais pas si je vais survivre pendant deux ans. C'est long. Peut-être un peu trop à mon goût. En tout cas, une semaine c'est déjà trop. J'espère que ça va bien se passer. Mais quand on n'est pas à l'école, ce qui arrive souvent, c'est quand même bien. À Pâques, on est allé à Kribi. C'était vraiment agréable. Kribi est la Floride du Cameroun. J'ai fait un film sur nos vacances en France et il est disponible maintenant sur le site. On en attend un autre de Kribi dans quelque temps. Encore là, c'est moi qui l'ai fait. J'ai utilisé Movie Maker (si vous voulez essayer). Un programme intégré dans Windows qui sert à faire des montages vidéos.
à la prochaine
Daniel
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